Je te salue
Je te salue, ô merveillette fente
Qui vivement entre ces flancs reluis;
Je te salue, ô bienheuré pertuis,
Qui rend ma vie heureusement contente!
C'est toi qui fais que plus ne me tourmente
L'archer volant qui causait mes ennuis;
T'ayant tenu seulement quatre nuits,
Je sens ma force en moi déjà plus lente.
Ô petit trou, trou mignard, trou velu,
D'un poil follet mollement crêpelu,
Qui à ton gré domptes les plus rebelles:
Tous verts galants devraient, pour t'honnorer,
À beaux genoux te venir adorer,
Tenant au poing leurs flambantes chandelles!
Traduza quem quiser, eu não arrisco.
2 comentários:
Aidez moi: il parle de quoi?
Il parle d´amour et quelque chose en plus. «Qui voudra voir comme Amour me surmonte,/ Me vienne lire: il verra la douleur, / Dont ma Déesse et mon Dieu ne font compte.»
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